(Textdichter-Poète) (Texte français ci-dessous)

Gustave Doret studierte an der Musikhochschule Berlin bei Joseph Joachim, danach am Conservatoire de Paris bei Théodore Dubois und Jules Massenet. Von 1893 bis 1895 war er zweiter Dirigent der Concerts d'Harcourt, 1904 dirigierte er das Orchester der Opéra „Comique“ in Paris.

Er schrieb in den Jahren 1905 und 1927 die Musik zum Fête des Vignerons. Seine Oper „Les Armailli“s (1900) und das Oratorium „Les sept paroles du Christ“ (1895) sind in einem Stil gehalten, der noch nahe bei Massenet liegt.

Sein Name ist eng mit dem Théâtre du Jorat in Mézières VD verbunden, für welches er zu zahlreichen Stücken die Bühnenmusik schrieb: „Aliénor“ (1910), „La Nuit des Quatre Temps“ (1910), Tell (1914), „La Servante d'Evolène“ (1937).

1990 entstand der Werkskatalog der Bibliothèque Cantonale et Universitaire de Lausanne.

Aus der Feder von Gustave Doret sind auch die heimeligen Volkslieder, wie « Le peuple des Bergers », « Le petit Chevrier », « La Chanson du Coucou », die viel gesungen wurden. Später schuf er die Volksopern „Mädeli“, „Die Zwerge vom Haslithal“, „Die Sennen“ und « Wilhelm Tell ». Diese Melodien waren in Frankreich sehr beliebt, in der Schweiz jedoch weniger bekannt. Im Jahre 1927 wurde er wieder dazu berufen, die Musik für das Winzerfest zu schaffen. Daran erinnert uns das alte Volkslied „Le Ranz des Vaches“. Gustave Doret darf zu den Wegbereitern für die Verbreitung des Volks- und Jodelliedes in der Westschweiz betrachtet werden.

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Gustave Doret étudie les sciences et la médecine à l'Académie de Lausanne, puis le violon à l'école supérieure de musique auprès de Joseph Joachim à Berlin. Il travaille au Conservatoire de Paris auprès de Théodore Dubois et de Jules Massenet. Entre 1893, l'année où il compose une cantate Voix de la Patrie, et 1895 il est le premier chef des concerts du Château d'Harcourt. En 1896, il est nommé chef d'orchestre de l'Orchestre de l'Exposition nationale de Genève puis, en 1904, il dirige l'orchestre de l'Opéra Comique.

Il écrira la partition des Fêtes des vignerons de 1905 et de 1927 ainsi qu'un opéra, Les Armaillis en 1900 et l'oratorio Les sept paroles du Christ en 1895, d'un style proche de Massenet.

Son nom est lié au Théâtre du Jorat de Mézières, pour lequel il a signé plusieurs musiques de scène : Aliénor (1910), La Nuit des Quatre Temps (1910), Tell (1914), La Servante d'Evolène (1937). Etabli, en 1990, par la Bibliothèque cantonale et universitaire Lausanne, son catalogue inclut près de 400 compositions qui font la part belle à la voix humaine. Avec Emile Jaques-Dalcroze et Joseph Bovet, il est considéré comme le principal chantre populaire de la Suisse romande.

De la plume de Gustave Doret sortent également les chansons populaires intimes, comme « Le peuple des Bergers », « Le petit Chevrier », « La Chanson du Coucou » qui étaient souvent chantées. Plus tard, il a écrit les opéras populaires „Mädeli“, „Die Zwerge vom Haslithal“, „Die Sennen“ et «Guillaume Tell ». Ces mélodies étaient très appréciées en France, par contre peu connues en Suisse. En 1927, on lui a demandé d’écrire la musique pour la Fête des vignerons. Cela nous rappelle l’ancienne chanson populaire „Le Ranz des Vaches“. Gustave Doret a préparé le chemin pour les chansons populaires et le chant yodlé en Suisse Romande.

Quelle: Buch 50 Jahre WSJV / Livre 50 ans ARY 1987, diverses, Stand/état 6.3.2013 TA